Exercer le droit d’alerte de mauvaise foi est pénalement sanctionné.
Les salariés qui ont lancé une alerte de mauvaise foi, avec l’intention de nuire ou encore avec la connaissance, au moins partielle, de l’inexactitude des faits rendus publics ou diffusés peuvent être sanctionnés pour dénonciation calomnieuse, infraction punissable de cinq ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende.
Publié le mercredi 03 juillet 2013 - © Copyright Les Echos Publishing - 2013